VARIA
Corrigenda et addenda
à
L'Architecture lyrique médiévale: analyse métrique & modélisation des structures interstrophiques dans la poésie lyrique des troubadours & des trouvères / Billy, D. — Montpellier: Section française de l'A.I.E.O., 1989.
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Les
erreurs qui ne portent pas à conséquence ne sont généralement pas signalées
(italiques omises, changements de corps intempestifs, omission d'espaces, oe
pour œ…). Le soulignement attirera l'attention sur certaines corrections à
apporter. Les références seront données sous une forme simplifiée (sauf dans
l'Index 1). Les index intègrent certains des présents compléments.
6* l. 6 a.f.: veuille.
7* lire 69, 76, 78, 82, 87 pour respect. 71, 78, 80, 84, 89.
11* 175: il s'agit de Z558,41.
21* l. 3 avt interl.: du «grand chant». — l. 2 avt interl.
Räkel > Ranawake.
2 n1: à propos de RS1298, v. cependant AHenry, Rom LXXV:108-15 (cit. par Tyssens 1989:406n16).
7 l. 7: chaotique. — n: cf. ajostar e lassar motz e so dans PC364,2:1-2.
8 l. 10 avt § 1.2111: de syllabes, place de la césure, nombre…
— avt § 1.2111: le terme paraît par conséquent n'avoir en lui-même aucune
spécification technique particulière, celle-ci restant le propre des syntagmes
dans lesquels ils s'incorporent. On remarquera que, si, à la suite de Monaci,
il voit bien l'équivalence du compas des
Leys et du talho du chap. V, 2 du traité de poétique incorporé dans le codex
connu sous le nom de Colocci Brancuti,
Spaggiari (1982:24-6) se méprend
sur son exacte signification qu'il étend au binôme synonymique mesura ni tail de PC29,6:46-48 (et à
d'autres occurrences de mezura), ne
pouvant que reconnaître la résistance offerte — dans ces conditions — par «il
problema forse insolubile della loro origine».
17 Compléter ainsi le commentaire de PC10,25: Cette structure
enchâssée se retrouve au XVe s. dans un vers
du catalan Joan Basset (éd. Bohigas
1988:50-2), avec une structure rimique différente (10 abbacddc, 8 + (4); c. sing.;
A= (a, c), B = (b, d); renouvellement des mots-rimes dans la tornada).
18 Sur la tornada, v.
aussi Phan (1991).
19 § 1.221, à propos de RS893: il s'agirait en II 6 d'une
interpolation maladroite (Tyssens
1989:415). — A propos de RS1300: le v. 16 serait une interpolation (id., 416-7)
21 avt § 1.222: le phénomène se retrouve dans le Cantique de la
Nativité (Aujas…) avec 7a7a7a6'b et
7a7a6'b (F44n et 87n). Sur ColMuset RS582: Tyssens
(1989:415) tient opportunément les v. V 10-11 pour l'intégration par un copiste
d'une editio variorum («seconde
rédaction d'auteur») de V 13-14. Sur le problème général de l'«hétéromorphisme»,
Tyssens prend systématiquement le contre-pied de Marshall 1984b.
26 tableau: lire 544,1 pour 289,1. — 558,34 est une pièce non
lyrique. — ajouter: 461,206, anon., 302:12, canso,
C; cf. Mölk (1991). Beltrami (1989:13-6) passe en revue
quinze des pièces listées, dont PC80,33 qui est le point de départ de sa
réflexion; il omet toutefois cinq pièces, et, par contre, en adjoint deux:
PC293,24 (mais il s'agit de rimes internes instables), et la canso PC215,1 de Guilhem Evesque qu'il
convient d'ajouter à notre liste (F112:1; type A).
30 l. 10: Marselha.
32 note, l. 3: lire y
pour y.
38 Suppr. la n. 10 — A propos de *PC29,14a: cf. éd. Zufferey 1989 et les remarques de Vatteroni (1990:87-8).
40 n1: lire -oilha:-oilh
(italiques). — Dern. l.: /7 ¬ 4/.
41 l. 2: v. aussi GlAugNov PC205,1:1 (Bertran, vos c'anar solï¬atz
ab lairos); mais ici, le phénomène relève plus vraisemblablement de l'extazi (cf. § 1.3212, en particulier
PC248,15 et compl. 58 infra). — l. 3 a.f.: ms. O (non souligné).
42 On notera que Tyssens
(1989:415) approuve les émendations de Jeanroy qui ramène le couplet III de
RS972 à un sizain d'heptasyllabes.
43 Tyssens
(1989:410-1) voit à juste titre dans V 3-4 de RS476 l'intrusion d'une editio variorum («seconde rédaction») de
V 1-2 dans la tradition manuscrite. — l. 3 ms. T (italique). — l. 7, ajouter après p. 34: et Tyssens (1989:410, fin n56).
44 Sur RS1583 et RS1680, cf. Gennrich
1925:35-7 et 45-7.
47 A propos de RS738, le contrafactum
RS1247a présente une désorganisation comparable (éd. Jarnström 95-9; MW787 incorrect).
48 n: Tyssens
(1989:411-2) propose des arguments convaincants.
50 fin: la versa de
RmCorn n'est pas une pièce lyrique.
52 encadré, b): «une arythmie… exister», ajouter: «dans le
corpus ici considéré; ajouter en fin d'al.: «on le rencontre toutefois dans la
poésie gallégo-portugaise (cf. Spaggiari
1982:42-57) qui parle de «parità sillabica/isosillabismo ad oltranza»; par ex.
Joham de Requeixo T67,4 varie ainsi son schéma métrique:
I 7' 7' 7' 7' 7' 7'
II 7' 8 7' 8 - -
III 7' 8 8 8 - -
Spaggiari tend cependant à confondre isosyllabisme
arythmique et arythmie accidentelle (cf. Beltrami
1984:599, qui invoque le principe d'alternance
dans le premier cas, en l'opposant à celui d'équivalence dans le second cas).
56 ajouter PBrem PC330,18 (IV 4: bescles:-es; cf. Boutière 113:n28); PAlv 323,22 (Egypte:-e)…
Lienig (1890:68) ne distingue pas
entre les traitements portant sur des post-toniques, des protoniques ou des
proclitiques. V. aussi Erdmannsdörffer
(1897:46 (-ó), 76 (-a(n)), 108 (-às), 120 (-é), 123 (-és), 175 (-i)).
57 l. 1: renvoyer à p. 67. — RS458: c'est la forme alternative gié qui doit être ici en question. —
Notons un cas de systole dans un contexte d'isosyllabisme arythmique (pièce
non-lyrique) dans le Breviari d'Amor
avec planetas:vas (v. 5094). — L'extazi: sur la terminologie, cf. Spaggiari 1982:84-5:n14.
58 Skårup 1990:61
mentionne quelques cas dans la Croisade albigeoise: mescabavam, metiatz,
poiriam
et laichariam; v. aussi supra 41.
63 l. 4 a.f.: reste prise.
64 ajouter: Domna H. & Rofin PC249a,1 = PC426,1 (T1 1-3); rime en -iva: Oimais
conosc ben cossi va, | Rofin, puois
que_us aug encolpar | lo fin e_l caitiu razonar (éd. Rieger 1991).
66 PC434a,69: clara
est dû à une émendation de Riquer
1947 (cf. Coromines
1988:178:n27). — Gallarati 1978
revient sur la typologie de Menichetti pour la préciser en tenant compte
simultanément de trois critères («grammatica/rima/ritmo»).
67 Comment. au Cas 1: préciser «dans le cas de je et ce sujets postposés».
68 Dern ex.: fors que je.
72 Il est nécessaire en fait de distinguer une trame M des
mots-rimes, parce que les opérations portant sur des mots-rimes ne s'effectuent
pas nécessairement sur la trame O (cas hypothétique de rimes identiques lorsque
l'identité ne porte que sur une partie des occurrences d'une même rime; cas de
PC364,29 qui fera ailleurs l'objet d'un commentaire particulier).
74 al. num. 6., fin: Une situation comparable se rencontre aves
la trame M qui se confond presque toujours avec la trame O.
83 structures plurimodales: la loi en question est s = {(Ei) Æ (Ei+k)}
84 Dans le premier schéma, la seconde permutation opérant sur
les strophes paires est distincte de la première; substituer t (par ex.) à s.
85 L'adjectif «redon»
n'est appliqué par Guiraut Riquier qu'à des cansos
(présentant les caractéristiques listées).
90 § 2.22: la notion de processus
couvre en fait deux classes de phénomènes qu'il est souhaitable de distinguer:
la concaténation porte en effet sur
un transfert unique, alors que la rétrogradation
et la permutation circulaire
procèdent de l'organisation systématique, en fonction de critères dont la mise
en œuvre est sans équivoque, de la totalité des transferts effectués. — Fin: On
remarquera que le seul cas d'altération d'une transformation qui ne soit pas
liée à une altération du substrat concerne PC364,29 (cf. § 6.5).
91 Ajouter à la fin du § 2.231: «tout en maintenant la
concaténation des couplets dans ces pièces qui sont toutes construites avec des
coblas capcaudadas.»
92 On trouve un autre cas de dépression structurelle dans la tenso PC392,7 de Raimbaut de Vaqueiras: a7b7b7a7b7b7c7b7c7b7b7b7b7n4,
coblas singulars.
94 dern. l.: lire en gras doblas, ternas.
98 On trouve dans la version du ms. Z l'expression de «singulars
simplas» par opposition aux singulars
capcaudadas (éd. Anglade 1919:II:25).
105 n. 3, fin: Beltrami (1989:15)
parle d'«una marca di chiusura».
107 On rapprochera de Z567,1 le vers
lauda de Joan Basset, «lo qual conté dos versos símiles [p. 16: simples]» (terminus a quo 1378; éd. Bohigas 1988:73-6), traitant chacun
d'un thème différent, ayant leur propre forme strophique – la seconde incluant
un vers-refrain terminal – régulièrement alternée; les symboles de rimes
figurent en italique pour démarquer le second vers constitutif:
10' a b b a c d c d embre,
estre, atge, aire
7' a b b a c d c D aire, ina, ensa, isme
10' a b b a c c d d empre,
iure, aula, elha
7' a b b a c d c D elha, oble, ura, isme
10' a b b a c c d d esta,
istre, erla, ia
7' a b b a c d c D ia, ori, ari, isme
10' a b b a c c d d ample,
orma, asta, ida
7' a b b a c d c D ida, ava, oza, isme
10' a b b a c c d d ili,
etas, ica, ondre
10' c c d d ica, ondre
7' a b b a c d c D ondre, ana, ones, isme
7' c d c D ones, isme
On aura remarqué que l'alternance ne concerne pas les tornadas dont se trouve ainsi soulignée
la dépendance à l'égard du dernier couplet qui les fonde.
108 On remarquera que RS363 et RS1243 ont quatre timbres en commun
(même ordre d'apparition: er - ir - ors - é).
111 description de Z569,10: remplacer osa par oza (I-II a)
116 ajouter les timbres des deux tornadas: ire, en, en; ire, os, os.
121 Roncaglia
(1986:36) relève justement l'évocation que Raimbaut fait de sa structure
«motivata (…) da un riflesso iconico dell'intento di ritorsione dichiarato nel
v. 2: “Gir un vers d'amon aval”».
123 Dans RS1563, on a V: abbaccadd.
130 avant § 3.131: Pelosi
(1990:9) désigne par coblas
retrogradadas une permutation propre parfaite quelconque («hanno le
medesime rime che si ripetono in tutte le stanze, ma variate secondo rotazioni
prestabilite», ce qui recouvre nos coblas
unissonans ¥ capcaudadas, coblas
alternadas, coblas retrogradadas
et coblas redondas, ainsi que les
divers cas de convergence que nous avons relevé: le terme se trouve ainsi vidé
de son contenu spécifique. — dern. l.: ajouter en fin RmCorn Z558,3
(abcdefgh; relations infrarimiques au niveau de la cons. fin.:
{a:b:c:d:e:f:g:h} et de la voyelle moins le degré d'aperture: {a:d, b:c, f:g}.
132 n2: le procédé est repris par des catalans comme Johan
Berenguer de Masdovelles (éd. R. Aramon
i Serra 1938, Cançoner dels
Masdovelles (Manuscrit n° 11 de la Biblioteca de Catalunya), Barcelona:
I.E.C./Bibl. de Catalunya, n° 3 et 140).
135 A propos de la porquiera:
La tornada prolonge le processus de
rétrogradation en inversant l'ordre de reprise (après un couplet impair: gffee au lieu de eeffg). Cette particularité est une innovation: comparer avec le
traitement classique – bien que spécial – des tornadas dans PC154,6 (§ 3.1512).
136 Ajouter 2 col. (pour les tornadas)
à la description de PC154,6: elha*, elh*, or, or, elh, et elha, eis, eis, o, o.
— Suppr. la mention de RmCorn Z558,3.
138 dern. l.: Folquet de Marselha.
139 n. sous l'analyse de PC248,55, l. 3, lire: permutation parfaite
(non: minimale). — n. 1: Le transfert réciproque (b, c) Æ (c,
b) en III-IV est évidemment doublement illégitime puisqu'il porte sur des rimes
hétérotones.
140 sec. n., l. 1, lire: différée
141 l. 3, lire: n. 1 (et non: n. 2). — l. 4, ajouter un nouvel al.:
Exceptionnele chez les troubadours, cette structure circulaire qui fait appel à
la replication avec une permutation du 3e degré se retrouve dans la canzone ccvi de Pétrarque (S'i
'l dissi mai, ch'i' vegna in odio a quella):
i-ii iii-iv v-vi
a b b a a c c c a 6
+ (6) ella ei ia
10 10 10 10 10 6 6 6 10 ei ia ella
ia ella ei
T irrég.: accba (v. 5: 4b 6a)
le genre des rimes est indifférent
142 l. 3 (après: … PC29,6): il est intéressant de constater que le
type de permutation utilisé procède avec la réinitialisation par le dernier
timbre dans A* (et non le second), type que motive
ordinairement l'intérêt esthétique des coblas
capcaudadas qui sont ici irréalisables du fait de la constitution du schéma
rimique (rimes extrêmes hétérotones).
143 Fin § 3.163: Sur ces deux pièces, cf. Beltrami (1989:25-8); le métricien
italien donne toutefois pour les deux pièces deux analyses radicalement
distinctes qui ont le fâcheux inconvénient de les dissocier sur le plan
génétique, analyses qui par ailleurs perdent de vue la notion de permutation
(celles-ci semblent s'appuyer sur une conception affine à notre notion
d'«amalgame»). — Fin de la p.:
Les deux pièces de Guiraut Riquier examinées au § 3.714: 2 mettent tout aussi
bien en jeu une permutation transitionnelle.
149 Sous § 3.182: Soit le sirventes Raimon de Cornet
Z558,37; formule, 10 abbacddc, 8 +
(4); a ´ c alternatz,
b sing., d uniss.:
er atz er atz er atz er atz
anha ensa ia enga ona endas obras isca
atz er atz er atz er atz er atz
an an an an an an an an an
Dans le cadre choisi (cf. § 3.9), le timbre de la rime
‘b’ est constamment renouvelé. La tornada
est construite d'après l'avant-dernier couplet. — fin dern. l., avant les
deux points: ou 6 (incomplet).
150 Première description, ajouter une colonne pour la tornada: ars, is, is, ars (aux l. 1-4,
non 5-8). — l. 2 du texte, ajouter: «Les quatre derniers vers peuvent aussi
bien constituer une tornada que le
début d'un sixième couplet.»
159 § 3.2511, fin al. 1: Raimbaut de Vaqueiras
utilise cette technique dans sa tenson PC392,7 (à coblas singulars) où le second interlocuteur s'exprime en génois,
particularité linguistique qui justifie à elle seule le recours à cette
disposition, en dehors de toute perspective formelle (réseau-zéro). — Sous c),
ajouter FqMars PC155,1. — Sous f), suppr. RmCorn Z558,3. — Sous g), ajouter
RmCorn Z558,37 (§ 3.182).
160 Sous c), ajouter RmCorn Z558,3. — § 3.2513:
Folquet de Marselha.
161 Dans la description de PLun Z544,1, il y a semble-t-il
distinction de èm (VI d, VII a et T1 a; mais aussi T2 3-4) et ém (VII c et T1
c; mais aussi T2 2); seule de fait la seconde tornada est irrégulière.
162 § 3.262, l. 1-2: peut être contrariée (non
«amener») ponctuellement par la substitution de (non «des») formes
proches.
167 l. 2: le timbre de V b est en é(r) (corriger MW1699).
173 § 4.11: préférer «-zéro» à « inexistant» (toute récurrence de
timbre intempestive est délibérément évitée).
174 n: à propos des formes prion
et mon, on se reportera à Lienig (1890:64-5) qui signale,
notamment chez GRiquier, un certain nombre de graphies où u représente o fermé dans
des contextes phonétiques variés. — n, al. 3, l. 3: ms. C (italiques). — avant § 4.1112, ajouter: ainsi que dans la canso RmCorn Z558,17; formule, a10b10c10d10e10f10f4, 5 + (4); coblas
uniss. (timbres: ams, ems, ims,
oms, ums, eza). — fin: sup-.
175 § 4.112: le schéma strophique de Z558,41 est constitué
uniquement de rimes féminines (10 ababcddc).
176 l. 6 a. f., préciser: «totalement originale».
179 l. 1, fin, ajouter: «On remarquera que la série conventionnelle
des voyelles se développe au niveau de la rime ‘a’.» — n1, fin: V. aussi, au
niveau intrastrophique, Z558,17 (cf. § 4.1111).
187 al. 1, fin: Le procédé n'était du rete pas inconnu des auteurs
latins (cf. Mari 1899:969).
188 sur l'opposition mot-rime vs. mot-refrain, cf. Tavera (1986:207n17)
192 n: Marselha.
196 col. 1, dern. mot-rime en ‘c’: Deu, non greu. — l. 5 a. f.: Carroll .
197 Le second schéma couvre les couplets II-VIII, non III-VIII,
avec donc la valeur 2 _ i _ 7 (et non 3 _ i _ 8 doublement erroné). — Dans les
deux schémas, d4 (col. 1, dern. l.) doit figurer entre crochets. — l. 2 a. f.,
ajouter après intervient: en effet. — On consultera également Tavera 1986.
200 l. 13 a. f., corr. Târau
qui s'écrit à la roumaine avec une cédille sous le T, un circonflexe sur le
premier a et un _ sur le second.
204 On corrigera Frank n° 807:1 qui donne oc au lieu de uc.
211 § 6.13, avant le commentaire de la description, insérer: Le
degré de continuité de l'application de la permutation identique sur la trame R
(coblas ternas) est étroitement lié
au degré de la permutation sur la trame O.
213 § 7, l. 1: suppr.: superficiels.
218 Schéma strophique de PC234,5; avant «réseau rimique», ajouter: 7' ´ 8.
Index 1
Nous incluons ici les
références bibliographiques de la présente note.
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Index 2
Tous les apocryphes sont sans doute loin
d'avoir été signalés. Ajoutons ici *PC389,9 et *PC389,24
(précision à ajouter aux p. 120, 145, 159, 251 et 269) et *PC173,1a (p.
49, 246, 268).
I: *°PC29,14a: Zufferey
1989. — Azalais de Porcairagues (n° 43): Rieger
1991. — Beatritz de Dia (n° 46): Rieger
1991. — PC70,44: supprimer ¶. — PC80,10: Beltrami
1989. — PC80,33: Beltrami 1989. —
PC87,1: Rieger 1991. — PC88,1: Gouiran
1990; Marshall 1991 (au lieu
d'inédit). — Folquet de Marselha. — *PC173,1a [Bernart de
Durfort]: Gouiran 1990; Marshall 1991. — Gormonda de
Montpellier (n° 177): Rieger
1991. — PC231,4: Rieger 1991. —
PC233,2: Gouiran 1987; Loporcaro 1990. — Giraut de Bornelh (n°
242): Sharman 1989. — PC262,5: Lachin 1982. — PC289,1 (Peire Lunel):
voir Z544,1. — PC372,4: Rieger
1991. — *PC404,5: Rieger 1991. —
PC461,206: Mölk 1991.
III: L102-26: mél. Van der
Werf 1984. — L113-1: mél. Van der
Werf 1984. — L265-596: Tyssens
1971. — L265-1326: mél. Van der Werf
1984. — L265-1370: mél. Van der Werf
1984. — p. 264: Thibaut (IV) de Champagne Æ Roi de Navarre.
Index 3 (non Indes!)
Les numéros de p. précédés
d'un * renvoient à des apports des notes présentes.
I: 154,6: *135. — 155,1: *159. — 205,1: *41. — 215,1: *26. —
289,1: renvoyer à Z544,1. — 249a,1: *64. — 323,22: *56. —330,18: *56. — 364,2:
*7. — 364,29: *90. — 392,7: *92, *159. — 426,1: *64. — 461,206: *26.
II: 544,1: 26. — 558,3: *130, *160 (supprimer 136, 159). —
558,17: *174, *179. — 558,22: 174-175
(non gras). — 558,37: *149, *159.
III: 1247a: *47. — 1298: *2.
Index 4
X: éd. Gatien Arnoult 1841. — Z: éd. Anglade
Index 5
I: Halversikel:
moitié antérieure ou postérieure d'un Versikel (v. ce mot) au sens bartschien,
c'est-à-dire bipartite. — Synalephe:
la fusion peut se réaliser autrement que par une élision stricte.
II: Rimarium:
Ensemble ordonné etc. (suppr. «non»). — Structure
applicationnelle alternée: Une permutation est appliquée aux couplets
impairs, une autre aux couplets pairs engendrés par la première: § 2.1412, §
3.20[1]. La replication peut apporter un nouveau
niveau de structuration: § 7.7. — Structure
applicationnelle intriquée: Repose sur l'intrication de deux structures
applicationnelles autonomes: § 3.21.
III: Coblas alternadas,
redondas, retrogradadas, retr. de dreg en dreg, unissonans ¥ capcaudadas: remplacer «rimarium unique» par «ensemble
de timbres» (l'emploi de rimarium correspond
en effet dans ces cas à la définition - avant correction - donnée en II). — Coblas alternativas (deux fois), doblas, ternas, unissonans: supprimer
«identiquement ordonné».
291 STROPHIQUE: A* = ordre d'apparition des rimes, D* =
ordre de disparition des rimes (cf. § 2.2111). — Structure métrique en surface: «en surface» est de trop.
— _ = dépendance entre unités métriques au sens strict (vers ou composants
de vers césurés).
D. B.[2]
[2]Qu'est-ce que t'en as fait des fautes Billy!
(N.D.D.). J'eusse pensé qu'on les eussent découvertes en lisant l'ouvrage, non
en lisant la présente note… (N.D.L.A.)